labyrinthe

chercher encore dans  les mots des autres ce qui pourra permettre aux idées miennes de se former à la compréhension (et pour le coup de me clarifier aussi...)

je suis dans un labyrinthe, je cherche une porte de sortie, à défaut de (re)trouver une bouffée d'air, un vent frais d'air pur...

pour autant encore, "l'ecole: question philosophique" ... relire Erasme, pourquoi pas? la folie était -elle simplement de venir ici? entrée sur un mal-entendu, brouhaha qui m'a abasourdie (j'adore ce mot, il roule dans le creux de l'oreille, tient dans la bouche son sens même, un régal de mot...)

des journées de projets de travail collaboratif sur un thème ou un autre, la volonté claire et affichée de sortir d'un classicisme qui nous noie et nous dessert plus qu'il ne porte quiconque, "voyez grand" "innovez": sage, j'ai écris, lu, cherché découvert des liens et des ouvrages, plongé dans les textes, les décrets et les témoignages, revus les projets, classé et clarifié les empilement de matriochka des institutions et au final dès le départ le non entendu...rien n'est pas sans incidence sur le comportement des individus, sur le lien et sur la posture des uns par rapport aux autres, de tous par rapport à l'attendu, au su-posé (alors pour le su tout court ou pour l'appris le posé devient primordial...) ... mais rien niet, nada, tables classiques, installation standardisée, postures hiérarchisées, pas là pour faire de la psycho, la pédago on verra après quand on connaîtra notre salle et nos élèves et au final, nous innoverons dans du connu, ça fait des générations que cela dure, pas de raison que ce soit autrement...

chercher une porte de sortie, un fil d'Ariane, ouvrir les portes et les fenêtres, virer les tapis, changer de bord...

j'ai dans ma poche un petit caillou rond, blanc, poli, je le réchauffe au creux de ma main comme si à son tour il pourrait me montrer un chemin...